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Photographie, Bisons, Altamira (Espagne), Grottes d', Art pariétal préhistorique, Émile Cartailhac (1845-1921)
Bison polychrome d'Altamira. Source : Cartailhac, E. & Breuil, H. (1906): «La caverne d'Altamira à Santillane, près Santander (Espagne)». Monaco. La sensation de réalisme est obtenue en tirant profit des reliefs naturels du plafond de la grotte, qui créent une illusion de volume, mais aussi grâce aux couleurs vives (rouge, noir, jaune, bruns) qui couvrent les surfaces intérieures des animaux et grâce aux techniques du dessin et de la gravure, qui délimitent les contours des sujets.
Le fondeur d'art. Ouvrier, ouvrière qui fond les canons, les cloches, les statues de bronze, etc.
Dessins et plans, Bisons, Altamira (Espagne), Grottes d', Art pariétal préhistorique, Controverses historiques, Émile Cartailhac (1845-1921), Marcelino Sanz de Sautuola (1831-1888)
Relevé du plafond aux polychromes publié par M. Sanz de Sautuola en 1880 (d'après Cartailhac, 1902). Les peintures d'Altamira ont été découvertes en 1879, lors de fouilles conduites par Marcelino Sanz de Sautuola. La grotte était connue depuis 1868 et Sanz de Sautuola y effectuait des visites depuis 1876. Il avait observé la présence de dessins géométriques sur les parois sans y accorder d'importance mais c'est sa fillette Maria, alors âgée de huit ans, qui remarqua la première la présence de «toros» dessinés au plafond. Sanz de Sautuola publia dès 1880 « Brèves notes sur quelques objets préhistoriques de la province de Santander ». Émile Cartailhac avait été un des plus grands adversaires de l'authenticité d'Altamira. À partir de 1895, la découverte de gravures et de peintures dans les grottes françaises de la Mouthe, des Combarelles et de Font-de-Gaume, lui firent reconsidérer sa position. Après avoir visité les grottes, il écrivit dans la revue L'Anthropologie (1902) un article intitulé « La grotte d'Altamira. Mea culpa d'un sceptique ». Après cet article le caractère paléolithique des peintures d'Altamira fut universellement reconnu.
Musée de Kyodokan (Musée populaire de Kawanishi), préfecture de Hyogo au Japon.
Dessins et plans, Afrique, Coiffure, Formes -- Aspect symbolique, Art africain, Attributs (symbolisme), Signes et symboles -- Dans l'art, Art ashanti, Ashanti (peuple d'Afrique) -- Art, Coiffure pour hommes, Symbolisme dans la communication, Symbolisme en anthropologie
Symboles d'art Adinkra relevés par Robert Sutherland Rattray (1881-1938) en 1927, "Religion and Art in Ashanti" (Oxford, 1927), p. 265. 1. Gyawu Atiko, lit. l'arrière de la tête de Gyawu, chef Bantama qui avait cette coupe de cheveux pour la cérémonie annuelle Odwira ; 2. Akoma ntoaso, lit. les coeurs joints ; 3. Epa, menottes ; 4. Nkyimkyim, le motif mélangé ; 5. Nsirewa, coquillages ; 6. Nsa, tissu nsa ; 7. Mpuannum, lit. cinq touffes de cheveux ; 8. Duafe. le peigne en bois ; 9. Nkuruma kese, lit. graines d'okra sèches ; 10. Aya, la fougère ou "je n'ai pas peur de vous", ou "Je ne dépends pas de vous" ; 11. Aban, maison à deux étages, château, motif réservé à l'origine au roi Ashanti ; 12. Nkotimsefuopua, pour serviteurs de la reine mère ; 13 et 14, Sankofa, lit. retourne-toi et va chercher ; 15. Kuntinkantan, lit. plié et dispersé ; nkuntinkantan veut dire "ne pas se vanter, ne pas être arrogant" ; 16. Epa, menottes.